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Succursale LeMoyne
Rendez-vous

Technologie AMFIT

L’empreinte du pied est numérisée automatiquement de façon très précise à partir de capteurs qui épousent la forme du pied.

Le patient place simplement son pied sur une grille qui capte toutes les courbes de la plante du pied. L’empreinte est ensuite numérisée et transmise à un ordinateur qui fournit une représentation graphique tridimensionnelle sur un écran et entrepose les données. Après l’analyse de l’information ainsi obtenue, l’orthésiste est en mesure de programmer les corrections nécessaires et d’en vérifier la validité avant de procéder à la fabrication. À partir de l’information cumulée à l’ordinateur, l’orthèse peut être fabriquée immédiatement de façon mécanique par un appareil sophistiqué relié directement à cet ordinateur. Un dossier permanent est ainsi créé. L’orthésiste peut suivre les résultats de l’utilisation de l’orthèse, le cas échéant.

En résumé, des empreintes prises par la méthode Amfit permettent d’obtenir facilement et proprement de l’information précise pouvant être stockée ou transmise ainsi que des orthèses prêtes rapidement sur place et pouvant être revues et corrigées au besoin.

 

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La fasciite plantaire

La fasciite plantaire est une blessure au pied causée par un étirement ou une rupture du fascia plantaire, une membrane fibreuse qui va de l’os du talon jusqu’à la base des orteils. Cette membrane constitue, en quelque sorte, le « plancher » du pied.

Principaux symptômes

Douleur dans la région du talon, qui peut s’étendre jusqu’à la base des orteils.
Douleur aiguë et persistante dans l’arche plantaire.
Douleur ressentie surtout le matin au lever ou à la suite d’une période d’inactivité.
Habituellement la douleur apparaît graduellement.

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Principales causes 

Marche ou la station debout prolongée sur des surfaces dures.
Pieds creux ou pieds plats.
Coussin plantaire s’amincissant avec l’âge.
Déséquilibre biomécanique qui est causé par un port de chaussures qui soutiennent mal la voûte plantaire et le talon.
Absence de période d’échauffement et d’étirement avant l’entraînement.
L’obésité.
Tension des muscles des mollets.
Excès de charge ou d’étirements.
Pratique intensive de sports.

Traitement orthétique

Si vous croyez souffrir d’une fasciite plantaire, consultez un professionnel de la santé. Une fois le diagnostic confirmé, l’équipe d’Orthèse Prothèse Rive Sud vous proposera les solutions les plus efficaces et spécifiquement adaptées à votre condition.

Une équipe aguerrie au service des gens

Expertise, efficacité, empathie : voilà des mots qui résument bien les raisons du succès de la clinique Orthèse Prothèse Rive-Sud depuis plus de 25 ans.
L’une de nos forces, c’est qu’on voit le patient du début à la fin, puisqu’on fabrique et ajuste les appareils sur place pour un service à la fois rapide et personnalisé », explique le directeur de la succursale sherbrookoise Martin Hudon, orthésiste-prothésiste depuis 1995. L’équipe est par ailleurs très solide : Daniel Nadon et Robert Roy œuvrent à Sherbrooke depuis les débuts, alors qu’André Bond, qui a récemment joint l’équipe, pratique son métier depuis près de 30 ans. Marie Lavoie, diplômée en orthèse et prothèse du Collège Mérici à Québec s’est jointe à l’équipe tout dernièrement. Ils sont épaulés par Isabelle Gagné et Carole Ducharme, cette dernière étant aussi au service de la clientèle depuis le début de la clinique ! À cela s’ajoutent les connaissances de tout le groupe, car le laboratoire sherbrookois collabore étroitement avec ses homologues de la succursale de LeMoyne. « Le secteur de l’orthèse et de la prothèse est vaste, c’est pourquoi au fil de sa pratique chaque professionnel se spécialise dans un type d’appareillage. Les années d’expérience sont aussi un atout, car plus on voit de cas, mieux on sait quoi faire pour optimiser la prise de mesures, la fabrication de l’appareil, etc. »
Pour des résultats optimaux, la clinique sherbrookoise collabore étroitement avec les médecins spécialistes, physiothérapeutes et ergothérapeutes qui réfèrent les patients. « Il y a une excellente communication entre nous et les autres professionnels de la santé. Au besoin, nous les contactons pour avoir davantage d’explications pour bien comprendre la problématique. On peut même suggérer une autre solution en matière d’orthèse selon notre expertise », ajoute M. Hudon qui se déplace régulièrement à l’hôpital pour certains patients qui ne peuvent venir par eux-mêmes à sa clinique. « C’est vraiment un travail d’équipe entre l’orthésiste ou le prothésiste et l’équipe soignante : nous partageons en fait le même objectif, soit d’offrir le meilleur soin et la meilleure qualité de vie à chaque patient. On veut ce qu’il y a de mieux pour lui et on travaille de concert pour y arriver. »
Chaque patient a des caractéristiques physiques qui lui sont propres. Son style de vie, son âge et sa pathologie sont autant d’aspects à considérer. « Il existe sur le marché des appareils déjà fabriqués qui peuvent parfaitement convenir pour certaines situations, mais sinon, nous devons les concevoir nous-mêmes. C’est là que l’expertise entre en jeu : il faut bien comprendre l’anatomie et la mécanique du corps, poser aussi beaucoup de questions au patient sur ses activités quotidiennes. Plusieurs facteurs influencent notre travail : le choix des matériaux (certains sont plus légers), la prescription du médecin (par exemple, le patient doit être complètement immobilisé), le poids de la personne, le fait qu’il s’agisse d’un athlète… Nos produits sont adaptés à la situation de chacun. »
Même s’ils cumulent des années de métier, les spécialistes d’Orthèse Prothèse Rive-Sud font parfois face à des situations plus problématiques. « C’est là que le travail d’équipe nous distingue. En partageant nos trucs, nos façons de faire, on finit toujours par régler le problème et arriver à la conception idéale. » Un suivi adéquat fera aussi la différence pour une prothèse ou une orthèse qui remplit ses promesses. « Des ajustements peuvent être nécessaires : nous sommes donc flexibles dans l’horaire pour recevoir les patients rapidement et effectuer les changements requis. ». Une orthèse, ça corrige, ça soutient, ça protège, ça stabilise l’articulation, ça ralentit la dégradation… « Les gens veulent habituellement l’appareil le plus léger possible et aussi le plus subtil (par exemple dans la chaussure). Mais on doit toujours garder en tête la prescription du médecin, l’objectif de l’orthèse, etc. Il existe aussi plusieurs règles à la RAMQ pour que l’appareil soit remboursé. On prend donc le temps de bien expliquer cela au patient, et je crois que c’est l’un des points qui nous démarquent et que notre clientèle apprécie énormément », soutient Martin Hudon.

Nouvelles installations à Sherbrooke

Depuis septembre dernier, l’équipe d’OP Rive Sud de Sherbrooke a le plaisir de vous accueillir dans ses nouveaux locaux, plus facilement accessibles, sur la 12e Avenue Nord.

Nos plus récentes installations, situées à proximité de l’Hôpital Fleurimont, allient confort et modernité et nous permettent de mieux desservir notre clientèle qui est en évolution constante.

OP Rive Sud de Sherbrooke doit son succès grandissant à l’expertise de ses employés et sa volonté d’offrir un service humain en étant à l’écoute des besoins de ses clients.

Vous profiterez également d’un espace-boutique agrandi qui permet à OP Rive Sud de vous proposer un large inventaire d’orthèses standards, de chaussures, de bas compressifs, de chevillère, de genouillères, de corsets lombaires et autres. Notre personnel qualifié se fera un plaisir de vous aider à choisir le produit qui vous convient.

Améliorer votre vie quotidienne

Les orthésistes-prothésistes d’Orthèse Prothèse Rive Sud suivent de très près les avancées technologiques, afin de constamment améliorer les appareils fournis à sa clientèle.

Les matériaux des orthèses sont en constante évolution et nous sommes toujours à l’affût des nouveautés, car celles-ci influent directement sur la qualité de vie des patients.

« Nous utilisons tous les moyens mis à notre disposition pour assurer l’évolution de nos produits. »

Marc Théoret

Se tenir aux aguets des dernières avancées technologiques en matière de machinerie et de techniques de fabrication, c’est aussi prendre part à des essais cliniques comme c’est le cas avec le CHU Sainte-Justine.

OP Rive Sud a investi dans un scanneur servant à la fabrication des corsets. Le procédé consiste à numériser le corps des patients. Ce qui nous permet de modeler le corset de façon virtuel et de le tailler, sans avoir à utiliser une empreinte en plâtre. La machine crée elle-même le moule à la suite de nos ajustements et il ne reste plus qu’à mouler le plastique. Une méthode qui s’avère beaucoup plus rapide et efficace.

Toujours aux petits soins !

Les petits détails et l’approche font toute la différence auprès des patients, petits et grands, accueillis à la clinique sherbrookoise.

En plus de ses tâches d’orthésiste, Martin Hudon voit au bon fonctionnement du laboratoire de Sherbrooke. C’est également lui qui s’occupe du volet pédiatrie: «J’adore travailler avec des enfants, c’est vraiment une belle clientèle», note-t-il.

Martin a d’ailleurs développé une approche particulière avec les petits. «D’abord, je ne porte pas de sarrau: les enfants ayant déjà été vus par plusieurs spécialistes, ils peuvent avoir développé une certaine méfiance envers le corps médical ! Aussi, j’utilise le ciseau au lieu de la scie pour couper le plâtre parce que c’est moins bruyant… et moins effrayant pour les tout-petits ! Je vais aussi m’arranger pour les divertir. Les enfants me donnent une belle leçon de vie, même s’ils vivent des moments difficiles, ils gardent toujours le sourire. Leurs parents aussi sont très patients, très courageux. Et puis j’ai l’occasion de les voir grandir et évoluer. On peut ainsi établir avec eux un contact plus privilégié. »

Pour l’orthésiste, la relation qu’il établit avec ses patients est d’ailleurs au coeur de sa pratique. «On travaille d’abord avec des gens, des gens qui vivent parfois des situations difficiles, qui se relèvent d’un accident, qui souffrent de séquelles de certaines maladies ou du vieillissement, qui éprouvent de la douleur ou qui ont perdu leur mobilité. On ne connaît pas toujours l’histoire derrière le patient, il faut donc être empathique et sensible à ce qu’il vit, prendre le temps de bien expliquer, d’écouter. C’est un travail d’abord et avant humain; la technique vient après ! » Et côté technique, la première étape est d’obtenir des mesures précises pour un appareil parfaitement adapté qui nécessitera peu ou pas d’ajustement. Un mandat plus compliqué qu’il n’en a l’air. « C’est parfois un défi, notamment lorsqu’on parle de personnes gravement blessées devant rester alitées ou ayant de fortes douleurs. C’est aussi le cas pour les bébés qui gigotent pas mal ! »

En continuel apprentissage Martin Hudon pratique depuis 18 ans, mais il n’a jamais cessé d’apprendre. « Il y a toujours une évolution des matériaux pour la conception des orthèses: on assiste d’ailleurs à plusieurs congrès, des compagnies nous font aussi des présentations. C’est important d’être à l’affût de ce qui se fait, car certaines nouveautés ont vraiment amélioré la vie de nos patients. Il y a aussi une évolution dans les techniques, chaque orthésiste développant avec les années ses façons de faire: c’est alors intéressant d’échanger avec les autres, d’apprendre de nouveaux trucs. Je reçois aussi chaque année des stagiaires, ce qui nous permet notamment de demeurer à jour dans les techniques enseignées. »